Rédacteur en Chef
Computerworld Kenya
Notre attention a été attiré par le récent article rédigé par Rebecca Wanjiku: "L'engagement de l'ICANN à l'Afrique porte des fruits" publié dans l'édition en ligne de Computerworld Kenya. http://news.idg.no/cw/art.cfm?id=C950F80D-01AB-74C0-D54CC6087A9E451B
Une lecture attentive de l'article donne l'impression que:
- "la réunion ministérielle a convenu que le gTLD DotAfrica doit être réservée" ce qui signifie :
- "que les organisations qui postulent pour cette offre seront sanctionnées par l'UA.
- Par ailleurs, votre histoire indique que " le processus de demande de nouveau gTLD de l'ICANN fournit aux pays et régions avec intérêt certains noms pour les réserver."
Nous croyons qu'il est important de clarifier ces problèmes afin d'informer correctement vos lecteurs.
1) La proposition d'inclure le gTLD DotAfrica la liste des noms réservés est une tactique pour préparer cette chaine et les chaines semblables dans toutes les langues pour être indisponible dans ce round des gTLD de l'ICANN afin de donner une protection législative spéciale dont bénéfiera l'UA, et de se doter des pouvoirs extraordinaires pour négocier séparément et déléguer ces noms en dehors du programme de l'ICANN. Même si la DCA est opposée au projet de résolution, la résolution finale a été adoptée plutart sans aucun égard pour des points de vue dissidents par la réunion des Experts de la Table Ronde ministérielle africaine et un communiqué est soumis à l'ICANN. Par conséquent, il faut noter que la demande officielle contenue dans le communiqué doit être examinée par le Conseil de l'ICANN, la seule autorité compétente qui a le pouvoir d'approuver ou de refuser la demande d'inclure DotAfrica sur la liste des noms réservés.
2) La DCA a fait valoir que le nom actuel des chaines sur la liste des noms reserves du Top-Level qui sont dans la version approuvée du Guide des nouveaux gTLD de l'ICANN n'y figure pas DotAfrica, et toute appobation de cette demande extraordinairede l'UA va nécessiter une modification aux sections pertinentes du Guide du demandeur (telle que la Section 2.2.1.2 - Noms Reservés et Autres chaines non disponibles). Pour cette raison, nous croyons qu'il est assez difficile de changer les règles car c'est tardif ce jeu. Jusqu'à présent, seul les noms pour le movement Olympique et le movement de la Croix rouge internationale sont des chaines de gTLD non admissibles la délégation durant ce round de demande initiale. La DCA croit que est déjà terminée, et celà ne peut être simplement changé depuis cela pose une sérieuse menance pour le principe même du processus multipartite que la gouvernance de l'internet contemporaine est fondée.
3) La DCA a également fait valoir que la la chaine de nom DotAfrica n'est pas à risque, et en tant que telle pourrait être appliquée au titre du programme ouvert et transparent des nouveaux gTLD de l'ICANN. Notre conviction est que ceux qui ont plaidé pour l'inclusion de DotAfrica sur la liste des noms reserves ne sont que ce faisan, de leur permettre de contourner le processus de l'ICANN, et d'obtenir le mandate pour DotAfrica à travers un processus distinct négocié directement avec l'UnionAfricaine. Nous croyons que les partisans de cette approche n'ont pas la confiance d'appliquer directement à l'ICANN et espérons seulement que l'UA les assistera dans leurs initiatives illégitimes illégitimes de détourner DotAfrica. Il suffit de lire la déclaration verbale attribuée à Vika Mpisane dans votre article d'accorder avec votre opinion. Mpisane a été cité comme:"L'AU est seulement intéressée à faire en sorte que les avantages de Dotafrica soient pour la communauté africaine de l'Internety." Que Devons- nous faire pour cela? L'UA est -elle ici pour servir les intérêts de la communauté Internet africaine ? Nous pensons que cela est tout simplement le désir d'une cabale égocentrique qui pousse l'UA dans une certaine direction qui permettrait la cabale d'atteindre ses objecifs puisque la soi-disante dirigeante de la communauté internet en Afrique est aussi membre de la Task force de l'UA pour DotAfrica.
4) La DCA croit que l'influence politique et diplomatique, les machines de l'UA ne devraient pas être utilisées pour promouvoir les objectifs de ceux qui veulent prendre le contrôle secret de DotAfrica. Si la communauté Internet en Afrique est en effet intéressée à la propriété de DotAfrica alors laissez appliquer directement sous les auspices légitime du programme de l'ICANN des nouveaux gTLD et ne pas utiliser l'UA pour demander des protections législatives spéciales en son nom.
Avec le modèle multipartite de gouvernance de l'Internet de l'ICANN qui est actuellement en en opération, aucun parti n'a un droit de regard meilleur que l'autre.
5) Nous à la DCA croyons que l'ICANN verra cette ruse n'approuvera pas la demande d'inclure DotAfrica sur la liste des noms réservés des gTLD. Quand cela arrive, la question de DotAfrica attirera alors seulement que les sérieux demandeurs et deviennent indépendants du groupe d'intérêt spécial qui veut l'acquérir pour élection pour opérer en dehors du processus de l' ICANN.
6) Nous pensons que votre article s'est trompé dans son avis déclaré que "le processus de demande des nouveaux gTLD de l'ICANN fournit aux pays et régions avec intérêt de réserver certains noms." Pris littéralement, Cela sgnifie que l'UA est intéressée à l'Afrique comme une 'région' et que le processus de l'ICANN permet de réserver ce nom. Jusqu'ici, au meilleur de nos connaissances, DotAfrica est la seule nouvelle prospective des nouveaux gTLDet sa chaine qui a attiré ce type de demande extraordinaire. Nous avons parcouru les dispositions pertinentes du Guide, et nous n'avons trouvé aucune prevue pour étayer votre opinion. Le Guide du demandeur n'a en aucun cas suggéré que les pays ou les regions peuvent demander des noms à réserver car les pays ont déjà leur 2-code de pays-au niveau des pays des pays domaines.
7) Enfin, avec le modèle multipartite de la gouvernance de l'Internet de l'ICANN qui est maintenant en cours, aucue partie n'a un droit de regard meilleur que l'autre. Même si, votre article donne par inadervertance l'impression que les points de vue d'une partie, dans ce cas, La Table Ronde Ministérielle parrainée par l'UA remplace toute opinion contraire à ce sujet.
Le principe multi-acteurs est censé assurer que toutes les voix soient entendues et les points de vue pris en considération. En fait, il n'y avait pas d'unanimité quant à l'adoption de la résolution pour obtenir DotAfrica inclus la liste de chaine de noms réservés des TLD. Par ailleurs, la DCA a également souligné que les ministers africains étaient absents à la réunion, et en tant telle la résolution qui a vraisemblablement été adoptée en leur nom ne pouvait être comme authentique.
"DotAfrica a besoin d'être libéré aujourd'hui de la prison de la cabale qui s'est acharner sur elle en vue de le détourner."