DES QUESTIONS -
ET UN APPEL � L'ACTION

2013 Assembl�e Annuelle
- Soci�t� anthroposophique au Canada
  Juin 2013
L'APPEL � L'ACTION
trumpets






Liens au Congr�s
AGM Poster

Ateliers (et Jeux!)


L'Eurythmie
avec Maria Helms

 

Installation avec Jean B.
(dans la photo :
Jacques R. et Roger L.)



Peinture avec
Micheline Cossette



 Po�sie avec Denis Schneider 

Pentecote

 

Trouve le tableau a partager,

Pratique les idees des autres,

Protege le jeu au jardin.

 

La plume ecoute,

S'ouvre l'espace.

Le coeur pied-nu

Pardonne.

La noirceur chante.

Greetings! 

Jean Balekian
Jean Balekian

Je voudrais vous faire part d'un travail que nous aurons � mener � terme en 2014, qui concerne le lien de la Soci�t� Anthroposophique avec la soci�t� canadienne en g�n�ral.  En prenant connaissance des diff�rentes �tapes, il devenait clair que les �l�ments qui expriment le but de la soci�t� anthroposophique appartiennent � tous les membres, une collaboration qui part de la p�riph�rie vers le cœur. C'est avec enthousiasme que le conseil entrevoit cette ann�e � venir.
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Apprendre � vivre avec des questions

- by Micah Edelstein

...J'ai r�cemment d�velopp� une nouvelle compr�hension et une profonde appr�ciation pour la force qui nous vient du fait de vivre avec les questions. Avant, je cherchais � trouver � l'ext�rieur de moi-m�me les r�ponses aux questions qui surgissaient en moi. Depuis quelque temps maintenant j'en suis venu � comprendre que l'essentiel, c'est la question elle-m�me. Il n'est certes pas facile de vivre avec la question juste, mais ce que nous recevons lorsque nous r�ussissons � le faire n'est rien d'autre qu'un cadeau des dieux. C'est pr�cis�ment ce cadeau qui se perd dans la course que nous menons pour d�couvrir la r�ponse. Ce qui vit dans la question, c'est une lueur de notre propre conscience divine. Les r�ponses sont par cons�quent, pour notre pens�e courante dense et rigide, des questions qui viennent mourir � l'int�rieur de nous-m�mes. En d'autres mots, en notre conscience qui aspire � s'�largir les r�ponses p�n�trent comme une sorte de poids. Plus on trouve de r�ponses et plus nous devenons int�rieurement lourds parce qu'ainsi nous rendons notre conscience semblable � la pesanteur. La � pens�e pesanteur � attache un concept fixe � ce qui devrait �tre une conscience vivante pleine de souffle. Par l� elle rend notre pens�e semblable � l'�l�ment terre. On pourrait dire que les r�ponses emprisonnent notre conscience divine tout comme la pens�e mat�rialiste emprisonne les �tres �l�mentaux...Lisez plus

 

 

Les questions et notre Volont� sociale.


- Impressions des conf�rences de Dennis Klocek, par  Vivien Carrady

...La formation des forces du cœur exige le d�veloppement de la capacit� de vivre avec l'ambig�it�. Dennis Klocek pr�voit un avenir dans lequel l'ambig�it� ira en croissant et dans lequel il faudra avoir d�velopp� une tol�rance permettant de vivre pendant de longues p�riodes de temps sans recevoir de r�ponses. C'est l� l'exigence fondamentale de la connaissance imaginative et des v�rit�s sup�rieures qui font partie int�grante du paradoxe. Alors que les � v�rit�s inf�rieures � permettent des r�ponses et des opinions, les � v�rit�s sup�rieures � s'ouvrent sur la sagesse cosmique. Nous apprenons � penser � sans pens�es �, � cr�er � des imaginations vivantes dans l'�me �, et � les laisser se r�veiller dans l'autre...Lisez plus 

A Word Cloud from Saturday Morning
WordCloud
Qu'est-ce qu'on voit �merger au sein de la Soci�t� anthroposophique?

 

- Dorothy LeBaron et Mark McAlister 

 

Le samedi matin, nous nous sommes d'abord r�unis en grand groupe et ensuite nous nous sommes divis�s en petits groupes, style � bistro �. Nous avons entendu parler de ce qui se passe dans nos diff�rentes communaut�s et avons alors commenc� � en faire ressortir quelques grands th�mes. Le � word cloud � qui para�t ci-dessus vous donnera un aper�u de la richesse de notre conversation. Plusieurs participants ont dit que leurs exp�riences du weekend avaient d�j� allum� en eux des �tincelles de nouvelles possibilit�s pour leur travail local, et nous esp�rons que ces gens nous �criront pour que nous puissions faire para�tre de leurs nouvelles dans des prochains num�ros de notre bulletin. Voici quelques �l�ments saillants des conversations de la matin�e :

 

Modifier son propre langage en �coutant le langage de l'autre. ♦ Si chacun arrive � une exp�rience r�ellement vivante, cela nous unit. ♦ Apprendre en approfondissant. ♦ Le langage int�rieur se traduit en en langage commun. ♦ Aider � grandir. ♦ Atteindre le langage de la Pentec�te (qui est au-del� du langage habituel). ♦ Caract�riser les perceptions au lieu de les d�finir. ♦ � Faites le travail vous-m�me � (Ben Aharon). ♦ Les rythmes de l'ann�e ont une influence sur le sentiment et la pens�e dans le monde. ♦ Que deviendra notre groupe lorsque nous traverserons le seuil? ♦ Cultiver une � Culture du Seuil � par rapport au ph�nom�ne de la mort. ♦ Comment le � Je � peut-il faire face � la culture de la technologie? ♦ Le contenu devient ce qui vit dans l'autre. ♦ S'impliquer : chercher � approfondir et a vivifier. ♦ Des sessions d'automne traitant des �nonc�s provocateurs de Rudolf Steiner. -La possibilit� d'un futur congr�s pour �clairer � l'humain-cosmique � et � le cosmique-humain �.

 

Ces conversations ne sont qu'un (nouveau!) commencement - et, bien s�r, elles soul�vent bien des questions. Mais comme le souligne Micah dans son article en premi�re page,  � Il n'est certes pas facile de vivre avec la question juste, mais ce que nous recevons lorsque nous r�ussissons � le faire n'est rien d'autre qu'un cadeau des dieux. �


 

NOTES:

* Des liens pour nous contacter et pour vous renseigner sur les activit�s sont maintenant disponibles dans le haut de la page d'accueil de notre Site des Membres.  Ces informations seront tenues � jour r�guli�rement. 

* Nous sommes tous en train d'apprendre comment mieux communiquer les uns avec les autres par rapport � notre travail anthroposophique. Les liens suivants vous feront acc�der � des exemples fort int�ressants :

 

♦ Vers Les Source
♦ Guelph Research Group
♦ Study Group In Duncan BC

  


Po�sie avec Denis Schneider